Louanges à Allah ! Louanges à Allah ! Louanges à Allah ainsi qu’il est digne d’être loué et comme il s’est loué lui-même en disant « Al hamdoulilahi rabil alamine ! » Que la paix et le salut d’Allah soient sur le Prophète Mouhammad (SAW), sur sa famille et ses fidèles compagnons et que la grâce divine soit sur le cheikh de la tariqa, le pôle caché (Cheikh Ahmad TIDJANI), et sur son khalife absolu (Cheikh Ibrahim NIASS de Kaolack). Que la grâce divine se déverse sur le khalife de ce dernier Abou Siradj Al Mounir Cheikh Mouhammad Al Mâhi HAIDARA, sur son khalife Cheikh Mouhammad Siradj Mounir Mâhi HAIDARA ainsi que sur le khalife de celui-ci Cheikh Mouhammad Al Arabi Mounir Mâhi HAIDARA dont le khalife est notre père, notre source Cheikh Aboul Fatihi Wanadja ; que la grâce divine soit sur lui ainsi que sur son khalife : Cheikh Mouhammad Moustapha TALL. Puisse Allah lui accorder la longévité, emplie de santé et de prospérité. Amine !

 

Son Éminence Cheikh Al Hadj Mouhammad Moustapha TALL, qu’Allah le protège, lui donne la longévité avec la plénitude de la santé.

 

Distingués khalifes, mouqqadams et disciples,

 

Chers invités,

 

Chers frères et sœurs ici présents,

 

En vos titres, grades, rangs et qualités respectifs,

 

Salamou aléikoum wa rahmatoulahi wa barakatouhou.

 

Au nom de Cheikh Mouhammad Moustapha TALL, khalife de Cheikh Aboul Fathi Wanadja ; au nom de la famille de Cheikh Aboul Fathi Wanadja et de ses disciples ; au nom des talibés de la fayda, des tidjanes et de tous les musulmans, j’ai l’honneur, par ce mot de vous souhaiter la bienvenue à cette cérémonie bénie en hommage à notre grand cheikh, Cheikh Al Hadj Ibrahim NIASS. Vous avez laissé derrière vous vos occupations pour venir répondre à l’appel de notre cheikh qui a institué cette rencontre spirituelle bénie. Soyez-en remerciés. Qu’Allah vous en récompense pleinement. Je me félicite et vous félicite tous à l’occasion de cette cérémonie commémorative de la naissance de Cheikh Al Hadj Ibrahim NIASS qui en est à sa onzième édition. Puisse Allah nous donner sa baraka. Amine !

 

Avant tout propos, j’aimerais adresser mes remerciements à notre cheikh, Cheikh Al Hadj Mouhammad Moustapha TALL, qui, soucieux du bien-être des talibés, a bien voulu initier cette rencontre à Ouagadougou depuis 2009 au leur profit car ce type de réunion leur est très bénéfique entre autres aux plans spirituel et social. Notre cheikh, le grand imam Cheikh Hassane CISSE (Qu’Allah soit satisfait de lui) disait :

 

« La rencontre des frères vaut mieux que la lecture du wird car quiconque manque une telle rencontre ne peut se rattraper tandis que s’il manque la lecture du wird, il lui est possible de se rattraper ultérieurement. »

 

Ces paroles prennent tout leur sens quand il s’agit d’une assemblée de premier plan comme la présente dans la mesure où la réunion des saints est source de fécondité des esprits. En effet, leur souvenir nous assure et nous procure la miséricorde d’Allah. Plus encore, lorsque ce souvenir porte sur notre cheikh, Cheikh Al Hadj Ibrahim NIASS et ses enseignements, le profit est énorme pour notre vie d’ici-bas et celle de l’au-delà. Cet honneur fait aux saints par votre présence massive l’est à l’endroit d’Allah qui dit dans le Noble Coran : « Et quiconque exalte les injonctions sacrées d'Allah, s'inspire en effet de la piété des cœurs. »

 

Notre grand cheikh, Cheikh Al Hadj Ibrahim NIASS, a déclaré dans l’un de ses discours, prononcé lors d’un maouloud du Prophète Mouhammad (SAW) :

 

« Les fondements du maouloud s’établissent à partir du verset coranique dans lequel Allah dit qu’Il raconte au Prophète les histoires des messagers qui l’ont précédé afin d’apaiser son cœur. C’est dire que le récit de la vie du Prophète et ses enseignements, est sans nul doute, pour nous une source d’apaisement de nos cœurs et un moyen de raffermissement de notre foi. ».

 

Nous déduisons de ces propos du Cheikh que si à notre tour nous célébrons le maouloud de Baye NIASS et que nous racontons ses bienfaits et ses enseignements, certainement cela nous sera bénéfique, apaisera nos cœurs inch’Allah et fortifiera notre foi car il est l’héritier du Prophète Mouhammad (SAW)

 

Qui est Cheikh Ibrahim NIASS ?

Il est le cheikh de toutes les dimensions uniques de son genre, la lumière de son époque, le bien-aimé d’Allah et de son Prophète Mouhammad (SAW). Il est le propriétaire de la fayda tidjania et le détenteur des secrets de la réalité ahmadienne, le khalife absolu de la hadra ahmadienne. Il est la source des enseignements et des secrets divins. C’est lui le pôle parfait, celui qui a œuvré à diffuser la science de la tarbiya. Il est la source des sciences des lumières et des secrets, fils d’El Hadj Abdoullah TIDJANI, fils de Son Éminence Mouhammad Ibn Mademba, fils de Bakr, fils Mouhammad Al Amine, fils de Samba, fils de Ridah (que l’agrément d’Allah soit sur chacun d’entre eux). Sa mère est l’honorable Aïcha, fille de Ibrahim Khalil (que la paix et le salut d’Allah soient sur eux).

Cheikh Ibrahim est né à Taïba Niassène le jeudi 15 Radjab 1320 H (17 octobre 1900), après asr. C’est un Sénégalais, de père et de mère tous deux Sénégalais, ayant vécu au Sénégal et dont le saint corps repose en terre sénégalaise. Il grandit dans la maison paternelle d’El Hadj Abdoulaye NIASS où il acquit toutes les sciences islamiques (la jurisprudence, les sciences du langage…) auprès au son père. Il mémorisa le Saint Coran dès le bas âge. Il mit à profit ses sciences (exotériques et ésotériques) pour guider les hommes vers Allah. Conférencier, orateur, professeur, poète, essayiste, il consacra sa vie à chanter les louanges de son bien-aimé et du bien-aimé d’Allah, le Prophète Mouhammad (SAW). Plusieurs milliers de personnes embrassèrent l’islam par son canal. On dénombre également par millions les aspirants qui adhérèrent au wird tidjane à travers lui. C’est un élu d’Allah (exalté soit-Il) à qui le Seigneur a accordé d’immenses faveurs. À titre d’exemples, nous en mentionnerons six :

1.  Il est le propriétaire de la fayda tidjania, ce titre tant convoité que de nombreux grands khalifes de Cheikh Ahmad TIDJANI avant lui ont cru et prétendu détenir. C’est avec l’avènement de Cheikh Ibrahim NIASS que tous se rendront à l’évidence qu’il est le titulaire de cette prestigieuse chaire ;

      2. Cheikh Ibrahim NIASS se distingue par le nombre hallucinant de ses khalifes, mouqqadams et disciples, qui bat tous les records. Ses disciples            sont issus de diverses nationalités, de différentes ethnies, de différentes sphères linguistiques et culturelles à travers le globe, d’Orient en                Occident (de l’Asie aux Amériques en passant par l’Afrique et l’Europe). Cheikh Ibrahim NIASS rassembla toute la communauté                               mouhammadienne (hommes, femmes, jeunes, groupes sociaux culturels, Arabes et non Arabes) autour de lui ;

      3.  C’est un écrivain prolifique dont le premier ouvrage (Rouhoul adab ou la quintessence des bonnes convenances) date de 1921, alors qu’il               avait vingt-un ans. Comme prosateur, il écrivit des prêches, des legs, des ouvrages sur la jurisprudence et la langue arabe, des exégèses du             Saint Coran. En tant que poète, il fit les louanges du Prophète (SAW) d’une façon inégalable. En outre, il compte des compositions poétiques             faisant le récit de ses voyages et de ses aventures. À cela s’ajoute la science spirituelle qu’il enseigna, grava dans les cœurs des saints, et dont        la transmission se poursuit continuellement de génération en génération ;

     4. Son amour pour le Saint Coran est unique. Il fut le grand lecteur, le grand hafiz, le grand moufasir du Saint Coran de sorte que le Coran est             son miracle comme ce fut le cas du Prophète ;

     5.  Il avait un amour démesuré pour les chérifs et la famille du Prophète Mouhammad (SAW). Il les honorait énormément et leur offrait pleins de            présents. Rien ne vaut un chérif à ses yeux ;

      6. Il vécut soixante-quinze ans (1900-1975). Son décès survint le samedi 16 Radjab 1395 H (26 juillet 1975) à Londres. Son corps pur et purifié          fut rapatrié au Sénégal et il fut inhumé près de sa mosquée, une imposante bâtisse qui témoigne de la grandeur et de la dimension de                     l’homme. Qu’Allah le récompense pour son œuvre grandiose au service de l’islam, la tariqa et la fayda. Qu’Il nous accorde sa barka et son                 agrément. Amine !

Pour clore mon propos, je réitère mes remerciements à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin, moralement ou matériellement au succès de cette assemblée, et particulièrement au comité d’organisation de ce maouloud. Je remercie tous les frères qui nous ont honoré en répondant à cet appel en dépit de leurs occupations. Qu’Allah récompense nos cheikhs qui ont bien voulu établir ce maouloud pour nous et leur en accorde les bienfaits. Nous n’avons aucun doute à ce sujet car le Prophète (SAW) a dit :

« Celui qui initie une bonne œuvre aura la récompense de cette initiative et de ceux qui ont pratiqué cette œuvre jusqu’au jour du jugement dernier ».

Puisse Allah (exalté soit-il) nous gratifier des mérites et de la baraka de cette assemblée et récompenser notre cheikh, notre khalife, l’initiateur de ce maouloud à Ouagadougou : Cheikh Al Hadj Mouhammad Moustapha TALL. Nous demandons à Allah (qu’Il soit exalté) d’exaucer nos vœux et ceux de tous les musulmans. Qu’Il nous protège et protège nos familles, notre pays ainsi que tous les pays des musulmans, de tout mal et de toute pandémie. Qu’Il nous ouvre les portes de Ses biens matériels et spirituels. Qu’Allah nous accorde Son agrément, celui du Prophète Mouhammad (SAW), ceux de nos cheikhs, de nos deux parents et de nos frères disciples. À l’année prochaine, par la permission d’Allah.

Salamou aléikoum wa rahmatoulahi wa barakatouhou.  

 

                                                

I- Quelques images du maouloud 2015 (1437 H) à Todiam.

 1- Cheikh Mouhammad Moustapha TALL à son domicile de Todiam

2- Cheikh Mouhammad Moustapha TALL reçoit les disciples

3- Cheikh Mouhammad Hâdi TALL (à gauche) reçoit les disciples de Ouagadougou conduits par le maître El Hadj Moussa TALL (à droite)

II- Le maouloud 2014 a connu une participation massive des disciples. Ces derniers sont venus de différentes localités du Burkina Faso (Todiam, Djibo, Ouagadougou, Dori, Fada N'Gourma, Bobo Dioulasso, Banfora, Koudougou...) et de la sous-région (Togo, Côté d'Ivoire, Niger, Ghana, Nigeria, Mali...). Il a connu la participation exceptionnelle de quatre (4) chérifs. l'un est Marocain et les trois autres (dont une femme) sont venus du Mali voisin. L'occasion était belle pour Cheikh Mouhammad Moustapha TALL d'annoncer l'ouverture d'une agence de voyage afin de faciliter aux disciples les préparatifs puis le pèlerinage à la Mecque. Le siège social de cette agence, baptisée "Agence Tall voyage", est à Ouagadougou. L'édition 2014 a également connu l'inauguration officielle de la mosquée de Cheikh Aboul Fatihi Wa Nadja à Todiam. 

 

III- La Ziyara 2014 à Todiam s'est tenu le 29 mars. Y ont pris part les talibés de Todiam, Ouagadougou, Bobo Dioulasso, Banfora, Djibo, Koudougou, Fada N'Gourma et bien d'autres localités du Burkina. Cette activité, initiée par la hadrat de Ouagadougou, connaît un intérêt croissant. Cheikh Mouhammad Moustapha TALL a exhorté les participants à inviter les talibés absents à cette édition pour l'édition 2015. Il a également souhaité que dès l'année prochaine cette ziyara soit internationale afin que les talibés résidant à l'étranger puissent en profiter.

 

IV- En 2010, Cheikh Mohammed Moustapha TALL instituait la célébration du maouloud de Cheikh Ibrahim NIASS à Ouagadougou au domicile de El Hadj Moussa TALL. La cinquième édition de cette activité de haute portée spirituelle s’est tenue dans la nuit du 17 au 18 mai 2014. De nombreuses délégations sont venues des quatre coins du Burkina (Todiam, Djibo, Bobo Dioulasso, Koudougou, Pialou, Dori, Sapouy, Ouahigouya…) pour assister à l'événement. Certains cheikhs  comme Cheikh Mahmoud OUEDRAOGO, Cheikh Youssouf YANGANE, Cheikh El Hadj Noufou se sont fait représenter. Cette édition a vu la participation d’invités de marque dont Cheikh Mohammed Moustapha TALL et deux chérifs venus de Ségou. Il s’agit de Cheikh Mâlam Tidjane HAÏDARA (fils de Cheikh Mohammed Mâhi HAÏDARA) et Cheikh Ben Oumar HAÏDARA (petit-fils de Cheikh Mohammed Mâhi HAÏDARA).

Dans son discours, El Hadj Moussa TALL a souhaité la bienvenue à l’assemblée au nom de Cheikh Mohammed Moustapha TALL avant d'entretenir l’assistance sur Cheikh Ibrahim NIASS. En effet, dans son intervention, il est revenu sur une allocution prononcée par Cheikh Ibrahim NIASS lors d’un séjour en Mauritanie. Cheikh Ibrahim NIASS y traitait des généralités sur la ma’arifa et la fayda (bienfaits de la ma’arifa et conseils à l’endroit des talibés). C’est un texte très riche en inspiration et d’une importance capitale qu’El Hadj Moussa TALL a partagé avec les participants.

Cheikh Mohammed Moustapha TALL a également pris la parole pour prodiguer des conseils aux talibés. S’en sont suivies différentes allocutions de mouqqadams et khalifes, notamment Cheikh Ben Oumar HAÏDARA, le porte-parole de la délégation de Ouahigouya (hadrat de Cheikh Youssouf YANGANE), oustaz SOW, le président de l’association FITIYAN AL FAYDA (M. MAÏGA), l’imam Abdoul Wahab CISSE, l’imam Yacoub TIEMTORE…

Un autre fait marquant fut l’introduction de sites d’hébergement pour les disciples non résidants à Ouagadougou ; toute chose qui contribue à l’amélioration du service d’accueil. La cérémonie a été clôturée par la lecture intégrale du saint Coran suivie de bénédictions à l’endroit des disciples présents, absents et pour la stabilité du pays.

QUELQUES IMAGES

1- El Hadj Moussa TALL

2- Cheikh Mohammad Moustapha TALL (au centre) en compagnie de Cheikh Ben Oumar HAIDARA (à gauche) et de Cheikh Mâlam Tidjani HAIDARA (à droite)

3- L'assistance

 

Pour plus d'images, voir rubrique Album photos.

 

IV- 

La ziyara annuelle de Ségou s’est tenue du samedi 25 au dimanche 26 octobre 2014. La délégation burkinabè conduite par Cheikh Mohammad Moustapha TALL (khalife de Cheikh Mohammad Al Mounir HAÏDARA au Burkina)  y a pris part avec plus de deux cent personnes.  Dès leur arrivée, les participants partis de Ouagadougou, avec à leur tête, El Hadj Moussa TALL, sont allés présenter leurs civilités à  Cheikh Mohammad Moustapha TALL (arrivé deux jours plus tôt) avant de procéder à l’office de maghrib et à la wazifa. Après la prière de icha’i, les délégations étrangères ont rejoint leurs sites d’hébergement, le temps d’un repos.

C’est à minuit que la veillée a commencé avec deux interventions introductives qui se sont essentiellement articulées sur la valeur spirituelle de Cheikh Mounir et les grâces dont il irrigue les tabilés. Cheikh Mounir a pris la parole pour prononcer une allocution en arabe puis en bambara. Il a apprécié les efforts des participants qui ont fait le déplacement de Ségou malgré leurs activités respectives et en bravant bien de difficultés. Il les a invité à plus d’efforts dans les actes adoration et a salué l’ouverture de nouvelles zaouïas au Mali. Il n’a pas manqué de dire des bénédictions à l’endroit des disciples présents et absents, pour la stabilité politique au Mali et pour la protection de l’Afrique de l’Ouest contre la maladie à virus Ebola. Son fils, Mohammad Al Arabî est également intervenu sur la valeur de la ziyara dans la tariqa tidjania et pour l’évolution spirituelle du disciple. Deux jeunes fils du Cheikh, ayant mémorisé le saint Coran, ont impressionné l’assistance par une lecture coranique. S’en sont suivies, les interventions des différentes délégations (maliennes puis étrangères). Quand la parole fut donnée à la délégation burkinabè, c’est Séidi  Mohammad Moudjtaba TALL qui a présenté les différents intervenants : Séidi  Mohammad Hâdi TALL (pour la lecture coranique), El Hadj Moussa TALL (pour l’allocution en langue arabe, mot officiel de la délégation au nom de Cheikh Moustapha), Amado ZOMBRA (pour le diwan), Abdoulaye SIDIBE (pour l’allocution en langue jula) et oustaz Habib CISSE (pour une autre allocution en arabe).  Un fait notable a été l’intervention pour la première fois d’une femme à cette assemblée. Il s’agit d’une talibé animée d’une grande volonté de bienfaisance qui a mis son domicile à Bamako à la disposition et au service de la hadrat. La prière de soubh a mis fin à la veillée avec les bénédictions de Cheikh Mohammad Mounir HAÏDARA qui a reçu tous les membres de la délégation à son domicile avant le départ pour le Burkina. 

 

QUELQUES IMAGES

1-  Présentation des intervenants par Séidi Mohammad Moudjtaba TALL

2-  Lecture coranique de Séidi Mohammad Hâdi TALL (à gauche) suivi de l'adresse officielle de Cheikh Moustapha prononcée par El Hadj Moussa TALL (à droite)

4- Oustaz Habib CISSE

 

 

 

 Pour plus d'images, voir rubrique Album photos.